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Quel homme d'action ce Blue!

Ouais moi aussi j'aime bien la logique qui le pousse.

Il pose pas de question, il va voir les films, et puis hop. Chapeau.

Je n'aurai jamais pensé faire temps d'émules avec ce mot bancal ! Mais je crois que tu fais une fixation là-dessus, va voir sur cineprofil j'ai mis une bonne note à Adèle H (autant qu'il est possible de "noter" un film) et je lui reconnais beaucoup de qualités !
bons visionnages quand même
et désolé de t'avoir énervé

Hum, va falloir que t'apprenne à connaître Blue. C'est le loose cannon - ou le Denis Rodman* - de Cinéprofil. Il a du bagout, des griffes et des dents, mais finalement, c'est un chic type (sous son manteau d'insolence).

Dans un film, il pourrait bien être ce policier en bute à la lourdeur institutionnelle (du privé de film noir à Jack Bauer en passant par Dirty Harry et Axel Folley), qui n'en fait qu'à sa tête et dont on discute les méthodes. "But he gets results" dit-on.

Il faut ajouter de l'insolence. Alors, hum, décidément Axel Folley.



À moins que ce ne soit McNulty.




* Je dirais même le Sean Avery, mais je ne sais pas si je devrais.

Vraiment Axel Folley se rapproche énormément de ce Blue, excepté que la musique de Beverly Hill's cop est autrement meilleure que ces petites connasses que Blue écoute.

Les modérateurs sont en vacances, apparemment

L'histoire d'Adèle H, réécouté hier soir dans des conditions optimales (de calme, quiétude, sonorité adéquate) bref une atmosphère de zénithude royale planait sur mon salon

Je confirme en tout points ce que je pensais de ce film, à savoir qu'il frise la perfection. Je déteste noter une oeuvre (ici c'est plus qu'un film) mais en étoiles c'est ***** (sur 5 étoiles) (traduction cinéprofilienne).
Adjani est tout simplement sublime et la réalisation subtile et juste. Tout est pensé en tableaux (un peu comme au théâtre) ce qui permet justement de ne pas sombrer dans l'ennui et de ne pas perdre le spéctateur au fil de l'histoire.
L'histoire est passionnante (et passionnée) de bout en bout, sombre et désespérante (mais j'aime ça, à mon avis c'est à force d'écouter des connasses chanter le désespoir ).
Le truc vraiment sympa c'est de faire lire les lettres qu'Adèle écrit par elle-même mais sans aucunes émotions, ni dans la ton ni dans les traits du visage. Cette astuce permet de donner vie à des personnages non incarnés dans le film (comme son père Victor ou sa mère), Léopoldine dans ses rêves (mais ne sont-ce que des rêves ?) ou le fameux Albert.

La fin est finalement un complément d'information sur la famille Hugo qui ne nuit en rien au film, sous forme documentaire car il n'a pas eu d'autre choix.

En tout cas bravo monsieur Truffaut

pour moi, donc...

pour les français du forum : L'argent de poche mardi 31 mars, france2, 23h45 - 01h30

Je viens de voir La nuit américaine. C'est une petite perle de comédie.

Mais qu'est-ce qui se passe? Une vague de Truffaut mania soufflerait elle sur cinéprofil???